Présentation de l’éditeur :
Nao souffre de TOC, mais pas de celui qui consiste à sans cesse se laver les mains ou toujours tout ordonner. Nao souffre d’obsessions violentes et morbides et ses compulsions prennent la forme de rituels mentaux invisibles. Travaillant à mi-temps dans un magasin de jouets designs et tendances, tout en essayant de décoller sa carrière d’illustratrice, elle est en quête d’un amour insaisissable… l’amour parfait. Et en rencontrant l’homme de ses rêves, elle réalise que les rêves peuvent s’avérer… bizarres.
Voilà un album dont la couverture m’avait rebutée au point que je ne l’avais jamais ouvert lorsque je l’avais croisé en librairie et j’en serais sans doute restée là sans les aperçus que m’en ont donnés certains billets de blogs.
Je l’ai donc abordé avec beaucoup de curiosité et l’ai lu attentivement (j’étais suffisamment intriguée pour vouloir ne rien rater). Malgré tout, je l’ai achevé en me sentant quelque peu perplexe, notamment du fait du dénouement, surprenant… Je me suis dit qu’il faudrait que je le relise, sans doute y avait-il certains aspects qui méritaient que je m’y attache davantage. Mais j’avoue que le propos ne m’a pas assez passionnée pour que je passe à l’acte (il faut dire que les albums tranche(s) de vie ne sont pas ceux qui m’attirent le plus, pourtant ils peuvent m’enthousiasmer, ce fut le cas avec « Le combat ordinaire », de Manu Larcenet).
Il reste que cette immersion dans le quotidien et le psychisme d’une jeune femme plutôt particulière m’a intéressée, même si j’ai parfois été déroutée par les diverses facettes de sa personnalité, ses références (à la culture japonaise) ou certains procédés narratifs. Quant au graphisme (que la couverture, j’y reviens, ne laisse pas deviner), souvent proche de l’aquarelle, avec une mise en page très dynamique, il m’a, lui, totalement séduite.
« Le Nao de Brown », Glyn DILLON
Editions Akileos (206 p)
Paru en janvier 2013 (pour la version française)
Inquiétante Nao, troublante Nao, touchante aussi… j’adore l’effet qu’elle produit sur ses lecteurs. Différent à chaque fois… tu n’y coupe pas 😀
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C’est sûr, elle peut difficilement laisser indifférent !
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C’est une histoire très étrange en effet et plutôt difficile à bien saisir au début. Heureusement qu’il y a ces beaux dessins! J’en garde plutôt un bon souvenir cependant.
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Les références à la culture japonaise sont déstabilisantes, aussi, car elle ne nous est pas familière.
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Ca fait partie des nombreuses BD « must » que j’ai sur ma liste, bientôt, bientôt… 🙂
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Ils venaient de l’acheter sur le réseau des médiathèques de Lille, donc j’ai sauté sur l’occasion !
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Sans doute trop déroutant pour moi, je préfère passer mon tour.
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Et je ne me permettrai pas d’insister 😉 ! (mais d’autres peuvent le faire, je n’y vois aucune objection 🙂 )
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Je n’ai pas encore sauté le pas, comme toi, le graphisme me séduit, pour le reste, je ne sais pas si je vais adhérer…
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Ma foi, c’est la curiosité qui m’a poussée (et la bibli venait de l’acquérir) et une fois lancée je n’ai pas eu envie d’abandonner l’album en route.
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Tu m’intrigues ! Moi aussi la couverture me repousse ! A voir donc !
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Je crois que la couverture en a rebuté plus d’un !
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Intrigant !!! Oui, la couverture est un peu rédhibitoire mais ton ressenti me donne envie d’essayer à mon tour.
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C’est spécial, mais ça vaut le coup de te faire ton opinion !
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Comme toi je n’ai jamais franchi le pas d’ouvrir cet album… A tord sûrement ! 😉
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Allez ! Un p’tit effort !
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très intriguant…. je note !
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Oui, il mérite le détour !
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Monsieur l’a lue, cette BD, et a beaucoup aimé. Moi je l’avais feuilletée, un peu déroutée et un peu effrayée par le sujet, mais je me suis promis de la lire, et ton billet ne fait qu’attiser ma curiosité. En plus, j’aime assez les albums « tranche de vie », en général.
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J’ai vu qu’il y avait bon nombre de lecteurs enthousiastes. Je ne le suis pas, mais c’est vraiment une question de ressenti, je ne remets pas en cause la qualité de l’album.
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